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Les politiciens et les grandes entreprises sont entrain de pousse à l’utilisation du Biocarburant, l'éthanol à base de maïs comme une alternative au Pétrole. Mais réellement tout ce qu’ils sont entrain de faire est d’augmenter le prix de la nourriture dans le monde, détruire la jungle de l’Amazone et en conséquence empirer le problème du réchauffement climatique de la planète.

Dans les années 90, l’amazone a était le sujet de l’écologie dans le monde, révéré comme un incomparable entrepôt de biodiversité, il est maintenant assombri par le problème du réchauffement climatique de la planète, mais les forets de l’amazone se présente aussi comme un incomparable entrepôt de Carbone et on parle là du Carbone libéré dans l’atmosphère qui réchauffe la planète.

De son ranch au-dessus du sud de l'Amazonie, John Carter regarde la destruction du monde, le plus grand bijou écologique. Il voit des hommes convertir avec des bulldozers la forêt à des champs de soja. «C'est comme assister à un viol» dit Carter.

Plusieurs nouvelles études montrent que le phénomène des biocarburants fait exactement le contraire de ce que ses promoteurs ont promis: c'est l'accélération du réchauffement de la planète de façon spectaculaire, empirer l’état la planète au nom de la sauvegarder. Maïs l'éthanol, toujours écologiquement suspect, s'avère écologiquement désastreux et semble moins GREEN que les dérivés de du pétrole.

Les biocarburants font un peu réduire la dépendance des importations de pétrole. Mais le problème fondamental de la plupart des biocarburants est que l'utilisation de terres pour la culture de carburant conduit à la destruction des forêts et des prairies qui stockent d'énormes quantités de carbone.

La leçon derrière tout cela est qu’avec une planète qui se réchauffe, le bout de terre est extrêmement précieux, et chaque hectare utilisé pour produire le combustible est un hectare qui ne pourra pas être utilisé pour générer les produits alimentaires nécessaires pour nous nourrir ou le stockage du carbone nécessaire à nous sauver.

Source :
The Clean Energy Scam.
Par Michael Grunwald
Traduit par Blouma
Time Magazine, 14 Avril, 2008

Publié par Blouma à 09:55